Si les services officiels de la Région Wallonne vous affirme que l'eau du robinet est potable et buvable, devriez-vous en douter ?
La réponse est simple : OUI , vous devez en douter !
Non pas que la Région Wallonne veuille vous mentir mais parce que, pour tirer ses conclusions, elle n'opère des analyses que sur base d'une liste limitée de produits nocifs à déceler. Si d'autres produits dangereux non repris dans cette liste qu'elle a déterminée sont présents, ils ne sont pas détectés puisque non recherchés.
Preuve en est que la Région Wallonne vient d'éditer une nouvelle liste élargie, non pas de un ou deux produits mais ... d'une vingtaine de pesticides et de leurs résidus présents dans l'eau et qui n'étaient pas recherchés et donc décelés auparavant. En France, ces produits ont également été ajoutés à la liste déterminée par leur administration et de très nombreux villages, principalement du nord de la France ont du stopper leur consommation de l'eau du robinet suite à cette liste modifiée. Au cours de la période 2017 - 2020, sur base des 18 pesticides considérés dans le système d'évaluation SEQ-ESO (la première liste non élargie), 12 masses d'eau souterraine (parmi les 34 que compte la Wallonie) présentaient déjà une eau de qualité moyenne à mauvaise. Avec la liste élargie, il est extrêmement probable que la qualité de plus nombreuses masses d'eau souterraine se verra dépréciée.
En 2020, l'Institut scientifique de Service public (ISSeP) lançait la première campagne de biosurveillance en Wallonie **. Pour mieux connaître l'influence des substances chimiques sur l'organisme, l'urine et le sang de plus de 800 personnes ont été étudiés. Les analyses de sang et d'urine de 828 Wallons montrent une présence de plomb, de pesticides et de polluants organiques persistants, malgré des interdictions d'utilisation de ces produits datant parfois d'il y a 40 ans.
Concernant les insecticides utilisés actuellement : au moins un produit de dégradation (métabolite) d'insecticides pyréthrinoïdes et d'insecticides organophosphorés a été détecté dans plus de 90 % des échantillons d'urine des adolescents et des adultes. Avant la parution de la liste élargie de pesticides recherchés dans les analyses, cette carte ci-dessous * vous montre déjà les zones de qualité de l'eau souterraine. Il est fort à parier que vous vous trouvez dans une zone de qualité moyenne ou faible ou mauvaise. La même carte avec la liste élargie de produits dangereux à rechercher n'est évidemment pas encore éditée puisque les analyses vont seulement commencer mais est-il besoin de l'attendre pour rechercher une solution ?
Consciente depuis des décennies de cette problématique, j'ai recherché la solution idéale afin que vous puissiez boire l'eau du robinet mais filtrée permettant d'éliminer ces pesticides, leurs résidus, afin que vous puissiez boire une eau saine en toute sécurité. Aujourd'hui il existe plusieurs solutions. Encore faut-il une solution pratique et qui permette à toute la famille, en ce compris les enfants de bas âge, de pouvoir aisément se servir un verre d'eau ? Et tant qu'à faire, de pouvoir aussi boire cette eau rafraîchie et/ou pétillante. Les différentes études approfondies que j'ai réalisées sur toutes les solutions actuellement proposées ont conclu à cette solution idéale : le distributeur d'eau encastrable.
Boire de l'eau de bonne qualité améliore le niveau d'hydratation, la clarté mentale et les performances énergétiques. L'eau purifiée réduit le niveau d'acidité, les inflammations et prévient les maladies, le tout pour un meilleur système immunitaire.
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* Carte que vous pouvez retrouver en cliquant que ce lien
** L'étude s'intègre dans le Plan ENVIeS 2019-2023 (Plan Environnement-Santé wallon) adopté par le Gouvernement Wallon et qui a pour ambition d'étudier et limiter les risques environnementaux sur la santé humaine au moyen de 79 actions concrètes.
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